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 Au détour d'une ruelle (salem)

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Jill M-C Porter
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✤ Crédits : Angel Dust ♣ tumblr
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✤ Âge personnage : 26 ans
✤ Humeur : Relativement bonne
✤ Profession : Serveuse
✤ Philosophie : Arracher quelques gueules de vampires, ça fait toujours du bien
✤ Localisation : DTC
✤ Pouvoirs : immortalité, force surhumaine, réflexe, agilité, sens accrue, régénération, guérison instantanée et louve noire

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MessageSujet: Au détour d'une ruelle (salem)   Au détour d'une ruelle (salem) EmptyLun 10 Nov - 22:58


Jill & Salem
Je me souviens. Je suis apparue en louve, j’ai foncé comme je pouvais pour la sauver. Je me souviens de son corps transpercé par cette lame. Je me souviens avoir sauté sur son meurtrier pour lui bouffer la gorge et le tuer d’un coup de dents. Je me souviens avoir montré mes dents en sang, avoir hérissé mes poils, les avoir regardé avec un œil menaçant et ils se sont enfuis en courant. Je me souviens m’être changé en humaine, nue comme un vers. Un faisait froid, mais c’était pas important. Elle baignait dans son sang, souffrant en silence, je me suis approchée d’elle, je l’ai prise. J’ai pleuré. Elle s’est vidée de son sang dans mes bras alors que j’ai appelé les secours et les flics. Je l’ai bercé dans mes bras priant pour qu’elle tienne bon. Mais elle a eu son dernier souffle et c’est en la berçant que j’ai hurlé la mort. La berçant que mon cri de louve désespéré s’est arraché de la gorge. Putain Ada. Je t’aime. Tu me manques. Tes appels. Ton sourire. Ton rire. Bordel, je pense encore à toi. Je suis contre ce mur, je suis en pause au boulot. Putain de taffe. Pas le choix de le faire. Les flics ont débarqué ainsi que certains vampires pour comprendre mes motivations de ce meurtre. Je voulais la protéger. J’étais innocente. L’arme du crime était au sol et j’y avais pas touché. Je me souviens avoir été interrogé, mes larmes continuaient de couler. Les bad cops n’ont servi à rien. Les flics en général … ont servi à que dalle. Aujourd’hui, je ferme les yeux. Aujourd’hui et depuis sa mort je repense à tout ça. Crétin de Sullivan. T’es qu’un pauvre con t’aurais pas pu laisser mon Ada nan ? Au lieu de l’entraîner dans tes merdes. Mais il n’y a pas que lui que je déteste au plus profond de mes tripes. Salem. Connard. Pauvre sous merde ambulante. Lycan de merde. Dépravé. Si je pouvais t’égorger. Si je pouvais te faire bouffer les boyaux. Si je pouvais te tuer à petit feu. Si je pouvais te vomir dans la bouche, t’étouffer dans ton sang, te découper en fines lamelles. Putain, ma haine envers toi … tu peux pas savoir comment je te hais. Je te hais d’avoir entraîner Sullivan dans tes magouilles à la con. J’ai aucunes preuves bordel et ça fait chier. Aucunes preuves, mais une putain d’intuition qui me quitte pas les tripes. Une intuition de bonne femme, mais certainement plus une suite logique. Si j’apprends que tes magouilles ont tués mon Ada … putain … même passer une vie entière au Devil’s Path c’est rien contre ce que je veux te faire subir. Ma haine, ma vengeance et mes envies de meurtres contre ta pauvre tête de blondinet, n’est rien comparé à ces tafioles d’Originaux à deux balles. Eux c’est dla nioniotes.

Je soupire, je venais de prendre un bol d’air, après m’être prise la tête avec un client … et lui avoir accessoirement foutu sa tête dans son plat de lasagnes après une remarque débile de mec creuvard qui veut montrer à ses potes qu’il a des couilles pour rabaisser une nana. Sauf qu’il ne me connait pas. Le boss a couru vers moi et m’a gueulé dessus. Je l’ai regardé avec tellement de rage qu’il s’est finalement fait tout petit et m’a autorisé une pause de trente minutes. L’autre gueulait comme un putois, pauvre ti’ chou, il avait mal. C’est triste. Nan je m’en fou. Je finis par rentrer, plus calmer, enfin, en apparence, car j’ai toujours les nerfs à blancs. Faut juste pas m’emmerder. Je reprend mon chewing gum dans la bouche et continue mon service jusqu’à la fermeture. Je suis avec mes collègues, on range tout, le cuistot s’occupe de son bordel, moi de la salle, de débarrasser les tables, les laver, nettoyer le sol, puis je file me changer au vestiaire. Le cuistot me regarde «  Jillou … tu gères ? » me demande-t-il inquiet. C’est le seul que je permet des surnoms à la con, parce qu’il me cherche pas des noises et parce qu’il aime me charrier avec ça « Tu me connais », lui dis je « Justement … c’est bien ça le problème. Tu veux que jte ramènes ? » « Non. Pas besoin de garde du corps ». Je ferme mon casier et finis par sortir du restau’ saluant le boss qui m’ordonne de dormir. Je lui fais rapidement un geste de la main. Ouais si tu veux. Je commence à marcher dans les rues, musiques dans les oreilles. Je ne veux qu’une chose : mon bain et mon lit. Bon ok … deux choses. Et aussi une troisième : faire mes gâteaux, seules choses qui me détend. Au fur et à mesure que je marche, mes narines sentent une putride odeur de lycan moisi. Je grogne et grimace. Oh putain les gens ont décidé de m’emmerder. J’enlève mes écouteurs, me retourne et aperçoit ce blond qui me donne la gerbe. « Qu’est-ce que tu m’veux ? », lui demande-je sèchement, le toisant du regard. Si je le pouvais putain … oui … si. Avec les si je ramène Ada à la vie. Il a pas intérêt à m’emmerder parce qu’il ne me connait pas. Depuis que je le connais, ce type, je l’ai jamais apprécié. J’ai toujours dit à Sullivan que c’était un abruti de faire affaire avec lui. Salem … putain. Je me souviens de ces conversations sèches avec lui. Il était pathétique dans son ironie à deux balles, il m’exaspérait rien que par de sa présence. Quand il était chez Sullivan et que je voulais récupérer Ada, elle me disait « Jillian s’il te plait. Laisse-le, il est pas si méchant. Salem tu veux quelque chose à boire ? », elle voyait le bien en chaque individu, alors que moi, je vois le mal en chacun d’entre eux. Ouais … bah tu t’es gourrée sur lui mon Ada. Complètement. Je le regarde donc, voulant savoir ce qu’il me voulait à me suivre comme un détraqué. Autant qu’il accouche et qu’il me balance ce qu’il me veut. Rien que de le voir, ça me rappel Sullivan. Et si je me souviens de Sullivan, logiquement, je pense à elle. Ada. « T’as l’intention de me suivre à la trace comme un toutou et me marquer comme les ptits chiens chiens c’est ça ? », lui demande je en me moquant de lui tout en arquant un sourcil




good vibes.


Dernière édition par Jill M-C Porter le Mar 11 Nov - 0:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Au détour d'une ruelle (salem)   Au détour d'une ruelle (salem) EmptyLun 10 Nov - 23:44




Call It What You Want

- Well I'm just gonna do here what I gotta do here. -


C'est en rédaction lol!
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