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 (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu

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MessageSujet: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyMar 15 Avr - 13:05

(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_inline_mq03m8tS261qz4rgp(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_n3qislELsQ1s7mgnxo1_500


Le sang sur ses mains, elle esquisse un sourire pour le moins sadique. Elle sait doucement que c'est un prix trop payer pour une si petite trahison. Mais elle n'épargnera pas le moindre écart, le moindre moment où elle peut exercer tout son pouvoir. Une reine despotique et sanguinaire. Un tyran au visage de poupée. Debout, perchée sur ses talons, elle laisse la langue s'abreuver du sang qui y trône comme un trophée. Mais le sang de loup-garou n'a rien d'extraordinaire, et un légère arrière goût qui lui déplaît légèrement. Mais la reine tient à montrer toute sa puissance et n'hésite en aucun pour montrer à sa cours, réduite à cinq que c'est elle, et uniquement elle qui compte. La mort est une amie, un jeu, une arme qu'elle se plait à donner à tout ceux qui se met face à elle. Elle aime régné, être sur le trône, même s'il est plus petit que la ville de New-York, elle se contente de ce qu'elle a. L'esquisse de son sourire trouve place, et s'élargit, à la vue des regards de soumission qu'on lui offre. Fière comme un paon, elle regarde avec dédain le cadavre à ses pieds. Et sur la voix suave qu'elle possède depuis un moment, sans oublier le légère ton de mépris qu'elle trouve souvent, l'ordre claque dans l'air.  

« Slade, débarrasse moi de ce parasite, et les autres nettoyaient le sang. »

Un regard égal à tous, avant de trouver place dans son cercueil, le temps file lorsqu'on joue avec les ténèbres. Ceux-ci vite chasser par la lumière du soleil qui offre toujours la lueur d'espoir au plus fou. Tant que le soleil brille, il y a de l'espoir ? La poupée morbide n'y pense plus, l'espoir se trouve dans les recoins sombre de la nuit, à l'abri de tout regard indiscret. Fragile et immensément petit, elle trouve cette jouissance à le réduire en miette dés qu'elle peut. Il n'y a pas d'espoir, il n'y a que la nuit, et les chiens de gardes le savent. Quelle idée d'aller trouver refuge ailleurs, dans une meute de gentils toutous qui trouve rien d'autres à faire que de planter des fleurs. Elle l'a eu, elle lui a arraché le coeur, après la dague en argent qui a trouvé l'emplacement parfait dans ses poumons. Elle a fait une erreur en choisissant un si jeune. Mais elle ne s'y reprendre plus. Comme toujours d'ailleurs. Rien ne sert de reproduire les erreurs du passé. Dans son cercueil, ses yeux se ferment pour trouver le sommeil, et donner l'illusion exquise d'un beauté endormie. Et la journée la complaint dans cette illusion morbide, à l'abri du soleil et l'idée de finir en buchée, elle reste un petit feu. Celui qui se cache derrière les dernières braises, qu'on ne voit pas, qu'on ne veut pas voir. Parce qu'il fait peur, parce qu'il prendra vigueur et prendra tout, brûlera tout sans compter les morts, ou la peur qu'il peut causer. C'est le genre de feu qu'on crée lorsqu'on jette un mégot de cigarette dans un été sec. Et c'est le plus effrayant. Elle trouve place dans l'ombre, ses yeux clos s'ouvrira quand il fera nuit, ses yeux chercheront nourriture. Comme les nuits de grandes faims, elle trouvera sa place dans l'ombre avant de frapper. Mais ses priorités ne sont pas à savoir dans quel cou ses dents se planteront, mais qui remplacera l'idiot à qui elle a arraché le coeur. De sang froid.

Et la nuit dépose enfin son manteau, ou en jette doucement l'ombre. Elle peut enfin ouvrir les yeux, elle peut enfin laisser son regard se porter sur l'état de la pièce, intacte. Pas de mutinerie, ou de pieu, pas de rébellion. Elle doit être une bonne reine. Un sourire de souveraine sur ses lèvres, et elle se déloge de son cercueil, parfait endroit pour elle et son coeur, et sort de cette pièce où ne traine aucun poil Comme toujours. Elle ouvre, elle ferme la porte, silencieuse, sur un pas de velours. Elle regarde les pièces, elle laisse son nez trainer un peu partout. Elle n'y trouve rien d'anormal, et les sons que ses oreilles perçoivent reste les mêmes qu'à son habitude. Ses pas la mènent à Slade, où le bout de ses doigts caressent son poils. Les yeux du loup trouvent le chemin de celle de la vampire.

« Il me faut un nouveau chien, pas comme le cadavre d'hier. Quelqu'un qui n'est pas trop jeune pas trop vieux non plus. Plus de famille, seul. Perdu de préférence, sans attache aucune. »

Le regard aussi froid que son corps, elle suit son chemin dans la maison, elle jette de brefs regards aux loups qui vivent avec elle, et se plait à voir qu'elle représente leur seul pilier dans la vie. Elle ne regrette pas la meute. Même si parfois, il y a des petites erreurs qu'elle rectifie, elle n'ai pas déçu. Et leur loyauté aveugle la fait parfois rire. La morte prend le chemin de la salle de bain afin de se rafraichir et de s'habiller. Elle sait que Slade trouvera assez vite, et elle n'a pas envie d'attendre une heure de plus. Il manque un chien, il faut combler l'espace vide. A peine, son corps dans l'eau que la porte s'ouvrir. Ses yeux lancent toute la colère qu'elle éprouve, mais à la vue de son loup alpha, elle s'adoucit, ses lèvres prend même la forme d'un sourire.

« J'en ai. Pas de famille à ma connaissance, pas de copine, pas d'enfants. Seule. Il doit avoir la soixantaine, et dans tout les cas, il a la force physique qu'il manquait à Edwyn. Je pense l'avoir vu trainant dans les rues. »

« Prépare les autres chiens. On y va dans une demi-heure maximum.  »

Juste le temps qu'elle profite un peu du bain, et qu'elle se dit qu'il faudrait que tout ses petits chiens de garde prennent exemple sur Slade. Rapide, et efficace, comme depuis le début. Elle sort de l'eau, le tissus qui se fond avec sa peau, et elle arrive sans qu'on remarque à la pièce principale. Déjà prêts; tous. Un sourire fin et discret, elle leur fait signe de les suivre. Slade trouve place devant, elle laisse guider, il doit savoir où lui se trouve, et c'est ce qui compte. Agile, fluide, elle suit son compagnon de longue date. Et quand elle trouve place dans l'ombre pour le laisser faire, son regard de morte examinant chaque mouvement, chaque museau qui cherche. Et c'est quand Slade qui lance un regard à la meute, et trouve une maison à l'état de ruine que la vampiresse suit sa meute. Dans l'ombre, elle attend de voir, elle attend comme un chasseur chasse sa proie.

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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyMar 15 Avr - 21:33


Chercher la vérité. S’éloigner du passé. C’est tellement facile à prononcer, ça sort tout seul sans aucun effort. Mais entre les paroles et les actes, il y a une différence. C’est plus dur d’appliquer la règle à tout ce que l’on fait. Quitter sa famille, sans avoir pu trouver celle de la femme qu’on vient de perdre aussi c’est dur à digérer. Le soutien, voilà ce qu’il aurait voulu trouver sans devoir chercher à ne pas se faire tuer. Et surtout ne pas devoir s’approcher d’un inconnu qui pourrait vouloir le remettre en cage.  Plutôt mourir que de redevenir le chien de garde d’un suceur de sang. Et pourtant il n’a pas complètement quitté la ferme qu’il possède. Il lui arrive de faire marche arrière pour se retrouver dans la cour de leur maison au pied du plus grand arbre de leur terrain. Le plus juste serait de dire qu’il y est au moins une fois par semaine. Le temps d’un aller-retour de 6 jours. Jamais plus. Le rythme du papillon de nuit a été gardé. Il évite les ennuis. Sous la lune tous les corps se meuvent vers une autre direction que la sienne. Chacun a des comptes à régler avec d’autres. Et lui peut  se contenter de regarder les guerres éclater sans y prendre part. La seule position qu’il serait capable de prendre dans ses bains de sang, serait la sienne. Sauver sa peau au dépit de ceux qui voudraient bien vivre une heure ou une semaine de plus. Il se fout de l’égoïsme. Il sait qu’il l’es nonante-neuf pourcent du temps. Il suffit de le voir se débattre pour continuer à garder la tête hors de l’eau, en agrippant d’autre gens dans sa folie, quitte à les noyer, alors que… Alors que dans le fond, il n’espère que couler pour rejoindre Elisa. L’idée de finir ses jours, bouffé par les insectes, le corps collé à celui de sa femme, en famille, avec son enfant, leur enfant, est tentante.  Seulement ce serait long, ce serait lent, ça risquerait de durer un million d’années à sentir les petites bestioles trouver leur bonheur et se régénérer juste après. Le sort de Prométhée n’est pas enviable à ce point. Le calvaire éternel des souffrances incessantes n’en ferait qu’un martyr ou un fou enlisé dans sa souffrance et son envie de ne plus jamais avancer.

A la place il préfère se retrouver des soirs comme celui-ci dans son ancienne maison. Un lieu où plus rien ne semble pareil. Tout lui est insipide. Comment ont-ils pu acheter une baraque aussi moche ? C’est aussi mort qu’eux. L’âme de la maison, il ne sait même pas si un jour elle en a eu une. Ils se sont laissé séduire par un tas de ruine, un vieux truc dont peu de gens voudraient.  Le genre qui ne permet pas au regard de trainer longtemps sur le squelette ou ce qui le peuple. Tant mieux, ses pattes n’ont qu’à le mener dehors, vers le plus grand arbre, le plus éloigné de la maison. De son pas trottant, il a l’impression que la maison se trouve à cette place précisément. La maison est là où le cœur se trouve, même une fois que les pieds ont quitté le sol. C’est là qu’il est bien. Il vient frotter doucement la terre de son museau, à la recherche d’un signe. Il aurait préfère la voir se transformer en monstre des nuits que de la perdre. Même l’idée de l’existence des zombies est belle. Ça donne de suite envie que tout ça se produise. La vie des morts, la vie après la mort. C’est toujours pour les autres. Des connards dont tout le monde se fout, et dans le cas contraire dont plus personne ne se souvient. Eteindre ses sentiment pour devenir le monstre le plus sadique aussi c’est toujours pour les autres. Dans le fond, les enfants de la nuit ont de la chance, il possède tout. Ils ont la chance de mettre tout de leur côté pour paraitre fort. Il ne se retrouverait pas les poils à même le sol au-dessus d’un corps... Un simple corps, il ne faut plus se bercer d’illusion. Il n’y a rien d’autre.  Sa gueule vient se poser sur le sol aussi avec le reste de son corps. Un léger gémissement à la pensée de la personne enterrée. Il ne devrait plus revenir. C’est bizarre. C’est bizarrement apaisant. Assez pour ne pas mettre longtemps à trouver le sommeil.

Petit somme de la durée d’une sieste lorsque des gens débarque. Il ne réagit pas en n’entendant aucune voix. Surement des jeunes qui cherche à se faire peur et qui rebrousseront chemin avant d’apercevoir sa silhouette animal. Et puis quoi ? Ils passeront probablement leur chemin. Un loup n’est pas intéressant. Il est bien plus passionnant d’examiner la dépouille d’un vampire. C’est moins ordinaire.  Son cœur s’emballe, il veut rejoindre sa moitié sous la poussière du sol, sans savoir qu’il est ailleurs. Il doit chercher la solution pour y parvenir car son battement ne ralentit pas. Les bruits se dirigent vers sa position sans hésitation. Il l’entend, il le sent aussi. Cette manière de traquer une proie. Son corps se soulève du sol, le cœur toujours en manque de son double. Son regard se heurte à la barrière qu’il avait pris le temps de réparer peu de temps avant leur mésaventure. Pas de fuite de ce côté. Pas par la gauche non plus, la droite devient chemin dangereux avec ceux qui viennent d’y prendre place et tout droit, il risque de se retrouver à l’intérieur sans aucune échappatoire. L’analyse est vite faite. Quitte à mourir autant le faire ici. Pas loin de sa femme.  Il fonce sur la droite les poils dressé de colère, la tête fière. Il ralentit pour s’arrêter à quelques centimètres en observant que personne ne lui cède un bout de passage. De la peur ou de l’énervement, il ne sait pas ce qui lui fait montrer des crocs. Il ne sera pas esclave. Il sera mort. Qu’on ne l’approche pas. Pas comme un idiot qui a approcher sa main et qui s’est vu avec les dents essayant de lui arracher un bout de peau conséquent. Il ne cèdera  pas de son terrain. Il est fort, puissant et il connait les lieux mieux que personne. Du moins, il s’en convainc.  Il s’en convainc jusqu’à ce que ses yeux distinguent le corps qui l’a tant répugné. Slade. Sa truffe se baisse comme par soumission. Il ne veut pas savoir le sort qu’il lui réserve pour la mort de sa meute. Doucement, il se reprend. Il redresse le regard, les dents tâchées par le sang du crétin, un peu plus en avant mais les pattes fuyant à sens inverses. Ses petits pas à reculons vont le reconduire sur la tombe improvisée. Ils vont l’emprisonner au sein de ce qui devait être un cocon de paix, pas de guerre. Ça n’aurait pas dû être sali. Son nez a distingué différente personne. Il ne connait pas l’odeur de toute, il n’est sans doute pas capable d’en identifier le nombre mais il sait qu’un membre est différent. Pas la même chose. Une odeur moins commune et appréciable. Vampire. Il n’y a pas qu’une personne en train de se décomposer sous la moisissure.
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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyMer 16 Avr - 23:19

(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_inline_mq03m8tS261qz4rgp(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_n3qislELsQ1s7mgnxo1_500


La nuit cache son corps des regards indiscrets. Ses yeux, eux, enregistre chaque partie, chaque moment, chaque chose qui se passe. La nuit est devenue une amie qu'elle côtoie, tout comme la mort. Mais ses entités ne sont pas palpables, et avoir une discussions avec elle se résumerait presque à parler seule. Mais elle s'en soustrait à cette idée grâce à cette meute qu'elle s'est constituée. Elle aime être reine, et l'idée d'avoir une cours à elle, à ses pieds est aussi alléchante que celle de planter les crocs dans le cou d'une petite innocente. Tout comme laisser ses mains sur son corps, avant de l'immortalisé dans toute sa beauté. Elle laisse ses lèvres prendre la forme d'un sourire, rien n'est plus beau d'ailleurs que la victime qui laisse tomber toute résistance afin de prendre le masque de la mort. Masque qui prend les couleurs ternes tout en gardant le charme et la beauté de la victime. Calixte a la narcissisme de croire qu'elle est la mort. Et la fierté de croire qu'elle sera le dernier visage que les yeux de la victime aura vu. Surtout en plein coït. Elle pourra dire qu'elle est morte au septième ciel. Comme beaucoup sur cette terre aurait voulu. Qu'elles n'aillent pas se plaindre, elle leur a rendu services. Surement le meilleur coup de leur vie. Et le dernier. Mais elle n'a pas l'esprit à penser à ses anciennes ou futures victimes. Ce qu'elle veut, c'est juste trouvé l'élément manquant dans la meute. Remplacer la pièce défectueuse. C'est tout ce qui compte, remplacer. Et Slade est meilleur pour ça. Elle ne lui voue pas une entière confiance, elle sait qu'il a ses défauts, et celui d'aimer en premier, mais pour le moment, elle n'a rien à redire pour le moment. Sur son trône nocturne, elle laisse ses boules de poils trouvaient leur chemin, celui que Slade montre, celui qu'il semble connaître. Elle sait qu'il a parfois infiltré l'une ou l'autre meute, pour voir ce qu'il se passait, et des futurs recrues. Elle sait aussi qu'il a toujours réussi à se montrer en tant que mâle alpha. Elle en conclut donc qu'il aura devant lui un chien soumis, et facile à prendre. Il sera comme les autres, au début. Un peu sur les nerfs, à vif, à tester et voir les limites. Elle n'hésitera pas à laisser ses dents trouver le confort de son cou, autant de fois qu'il faudra, autant de fois que ce sera nécessaire. Petite reine capricieuse qui supporte aussi mal l'insubordination qu'un non. Ca à le dont de lui faire trouver le summum de son sadisme. Et quand Slade ralentit devant une ferme abandonné, elle laisse ses yeux cherchaient le confort qu'il n'y a pas. C'est juste un tas débris qui n'exprime l'idée qu'un fou peut y vivre, ou juste un solitaire qui n'a trouvé d'autre que cette endroit pour fuir la réalité. Celle qui la rattrape souvent au coeur, et au corps. Stupide cabot, s'attacher est l'une des pires malédictions que la Terre a pu créer. Dans l'ombre, elle ne fait qu'un qu'avec la nuit, comme elle le fait tout le temps, il faut évaluer, comme toujours. Il faut évaluer, avant de savoir s'il est mort ou vivant. Comme toujours. Comme ce qu'elle fait tout le temps. Il n'est pas le premier, il n'est pas le dernier. Mais la volonté de mourir pour ne pas être esclave reste quelque chose qui l'amuse assez pour n'être qu'un ombre dans l'ombre, elle assiste à Slade qui prouve toute sa puissance, elle esquisse un sourire. Au moins, il lui fait peur, ou il inspire déjà la soumission, tout comme l'idée d'en faire un jouet. Spectatrice du spectacle, la vampiresse laisse Slade diriger. Il fait signe aux autres de se reculer, et prendre sa forme lupine. Le spectacle ne faisait que commence, au vue de la première morsure que Slade inflige, et de ce qui suit. Spectatrice, elle se dit qu'humaine, elle aurait pris du popcorn, et se serait régaler du spectacle. Comme toujours, elle se contente de lécher ses canines, et l'idée de trouver une victime la taraude assez pour se contenter d'une loup, à croire que tout spectacle à le don de réveiller son appétit. Calixte finit par sortir de l'ombre, et d'attraper le loup par le cou, un sourire qui se veut chaleureux mais un regard qui démonte toute tentative de chaleur. Froid et les lueurs sadiques qui ne quittent ses yeux que pour les journées de sommeil, Calixte reste pourtant droite. Plus petite que le loup qu'elle tient entre ses doigts, elle reste pourtant là, sans rien dire. La nuit comme alliée, le visage reste légèrement assombrie, et s'il devait faire une distinction physique, il ne serait pas, à part les deux dents qui trouvent le moyen de scintiller sous la lune, lui faire croire qu'elle va le manger, tout en appréciant le silence. Silence lourd et pesant. Silence qui prend place, un peu plus dans la nuit. Juste la respiration de tout les loups présents, et elle qui reste là, aussi immobile qu'une statue. Elle cherche à savoir ce qu'il se passe dans sa tête, à savoir aussi si elle le lâche, elle finit au bûcher ou dans un cercueil. Elle regarde Slade, et ses loups. Un regard rapide pour évaluer la situation, mais elle ne quitte pas la boule de poil entre ses doigts.

« Je m'appelle Calixte, et voici ma meute. Enfin, si on peut dire. Je ne veux pas t'entendre d'un autre façon que par ta voix, je chien. Tu m'attaques, t'es mort. Tu fuis, t'es mort. Alors tu ne peux que m'écouter. J'ai accidentellement réduit à zéro le temps de vie d'un de mes chiens, hier ou avant-hier, je ne sais plus. Il y a donc une place de libre. Slade t'a cherché. Je le lui fais confiance. Alors, tu viens, tu fais comme les autres, et on en parle plus. »

Sa main n'exerce aucune pression, et son regard ne le force pas à l'hypnose. La reine lui laisse son libre arbitre; tout en sachant qu'à la fin, l'issus reste la même : la mort. Que ce soit maintenant ou dans deux cents ans.


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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptySam 19 Avr - 8:20


Ses yeux fouillent pour apercevoir le moindre indice. Celui d’un corps au moins ou seulement l’initiateur. N’ont-ils jamais appris qu’il fallait toquer avant d’entrer ? Ne serait-ce que pour ne pas déranger les morts si la maison avait été hantée. Mais la seule âme capable d’errer ici, c’est lui. Il le saurait depuis longtemps si ça n’avait pas été le cas. Elisa est morte et enterré sans espoir de laisser une trace de son passe autre que ses actions et leur bébé n’a  même pas  vu le jour, alors la nuit… Elle n’a jamais été percée par les  cris d’un enfant à la recherche de ses parents disparus. Il en aurait surement sauter de joie, surtout si sa croissance n’était pas interrompu. Il n’aurait pas tout perdu.  Il ne se retrouverait sûrement pas seul au fond de la cours, les corps d’étrangers en face de lui. Ils sont de sa race. Il n’y a pas de doute à avoir, il a bien vu la main mordu se guérir. Et puis voir Slade et sa posture impressionnante ne laisse aucun doute. Il commence juste à se méfier de cet embuscade. Ses actes ne lui posent pas de problème, du moins tant qu’on ne vient pas les lui faire payer. Et à part pour le meurtre d’Elisa, il ne souvient pas que Slade ait un jour été clément. Trop laxiste à la rigueur. Beaucoup trop laxiste pour de jeune loup.  Un peu comme si lui, aussi, préparait un sale coup. C’est plus compréhensible en cet instant. Il se formait déjà une échappatoire. Ils doivent être plus vieux que leur ancienne meute, plus contrôlables et surtout fiables.  Il en a une brève preuve quand ils les voient reculer en bon troupeau.  Il laisse échapper un grognement. Pas de bagarre. Il n’était pas là pour ça. Le sang ne salira pas la mémoire et la tombe d’Elisa une seconde fois.  Il a envie de se coucher et de se soumettre pour fuir, il ne veut juste pas que Slade se pense aussi fort. Il ne lui fait pas peur. L’amour idiot et inconditionnel pour une morte le retient de se montrer trop agressif.  Pourtant il n’a pas le choix, l’alpha n’hésite pas lui. Il a senti la scène devenir réel en même que les dents pas évité dans son flanc.  Un léger gémissement fait comprendre que c’est aussi douloureux que ça en a l’air, malgré la guérison accélérée et l’adrénaline absente dans son corps. S’il doit mourir de la main de Slade, ce serait justifié. Une meute pour un seul loup. Il aurait dû le tuer aussi pour que l’affaire soit réglée. Et leur ancien maître aussi, juste au cas où il lancerait la cavalerie à sa poursuite.  Seulement il n’a pas le temps de regretté ses actes que la seconde morsure se fait aussi insistante que la première.  Un jappement se fraye encore un chemin aux oreilles des spectateurs. Il est passif dans ce combat, peut-être que ce sera son dernier. Si seulement, il pouvait l’achever plus rapidement. Un coup dans la nuque. Une morsure avec plus de puissance. Il n’a pas l’impression qu’il y mette tout son sien. Le seul problème dans cette affaire est que Joan a gracieusement éviter le coup fatale, avant de rentrer dans le combat et d’essayer de lui rendre ses coups de crocs. Il a perdu le désavantage, il a eu le temps de laisser les plaies se cicatriser. Le sang tachant son pelage brun ne l’a pas assez inquiété pour lui faire perdre la notion de survie et les mécanismes qui y sont associé. La gueule grande ouverte, les dents prêtes à chercher la chair une nouvelle fois, il sent qu’on l’en empêche. Une main sur le coup, ses yeux se plantent dans ceux de son intercepteur. Il n’a pas fermer la bouche directement. Elle a beau être vampire, elle ne lui fait pas peur. Il essaye même de faire le contraire. L’intimider pour qu’elle parte. Alors qu’elle a dû voir pire. Elle doit avoir au moins centaines d’années. Il ne sait pas, il s’en fout. C’est une morte ! Pourquoi on n’a pas donné cette chance à Elisa ? Cette seconde vie qui leur aurait fait perdre un bébé mais pas tout. Il y aurait toujours  eu leur amour. Ce dont la créature semble dénué. Même pour ses esclaves à qui elle jette à peine un regard. Ses oreilles se dressent sur l’arrière de sa tête quand elle daigne enfin lui offrir des mots. Un légère grognement en fin sonore. Il n’aime pas ça. Il ne veut pas de maitre. Il s’en serait cherché un sinon. Il ne veut pas de nouvelle meute. S’il pouvait, il  en mettrait une au bûché tandis que les autres se ferait tirer une balle dans la tête mais il ne peut pas. Calixte. Se taire, il le fait. Ne pas attaquer, il obéit pour l’instant. Par contre tout plaquer pour elle et son troupeau… Elle se prend pour sa femme, là. Tu fais ce que je veux mais dis-toi que c’est pour moi. Elle doit souffrir d’un grave manque d’amour à ce point. La tête haute, il se détache lentement de son emprise pour reculer de quelques pas. Il ne s’est jamais exercé à une transformation, le corps pris au piège par une inconnue. Il fait froid ce soir, elle n’est pas commode et il n’a pas envie de finir à poil devant tout le monde.  Avec le peu d’élan qu’il peut prendre, il se jette sur Calixte. Les griffes en premier. Il essaye de lui arracher au moins un bout de  peau de sa poitrine. Ses crocs s’enfonçant sans attendre à essayer de trouver son cou pour ressortir vainqueur avec la preuve de sa supériorité.  Un bout de chair, un gros bout de chair, c’est tout ce qu’il demande, ça ne doit pas être bien compliqué. A cet instant, il peut bien se permettre de n’avoir que cela comme seule pensée, en plus du va te faire foutre concernant sa demande. Il évite son regard sans difficulté.  Il gardera sa volonté. Il ne sera pas son jouet. Seulement il y a encore et toujours une différence entre dominer seule et à plusieurs. A peine trouver comment être supérieur qu’un loup lui fonce dans le  flanc avec violence et le fait rouler par terre, un peu plus loin. Le poids de l’animal se fait sentir à peine quelques secondes après.  Il a une jolie vu sur l’alpha, son dos n’ayant pas encore quitté la terre pour retrouver le confort de ses quatre pattes. Ses dents viennent claquer sur l’air à plusieurs reprises. Il ne veut pas voir Slade s’approcher de lui. Il ne veut pas souffrir tant que ça avant la mort.  Pour cette tâche il préfère de loin la vampiresse. Elle au moins n’aurait besoin que d’un coup de grâce pour arriver à le faire trouver la grande dame habillé à la même mode qu’elle. Et si la faucheuse existait ? Et si en réalité, elle n’était qu’un vampire du nom de Calixte ? Ce qui est certains, c’est que c’est plus facile de se fondre dans la masse de cette manière.
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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyVen 25 Avr - 0:07

(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_inline_mq03m8tS261qz4rgp(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_n3qislELsQ1s7mgnxo1_500


La froideur de la ruine qui se plante dans ses yeux l'attire, elle ne sait pas ce qui capte autant l'attention, peut-être qu'elle est aussi vide qu'elle est elle, peut-être que c'est l'idée que la mort puisse trouve demeure dans ces lieux. La mort, un attrait morbide, une attirance, une presque envie de maitriser totalement cette amie qu'elle s'est faite au fil du temps, qu'elle s'est faite au fil des années, une amie qu'elle ne trouve que plus attrayante, qu'elle ne trouve qu'encore plus douce lorsqu'elle l'a à ses côtés. Elle essaie de garder la douceur que la grande dame vêtue de noir, cette douceur qui se loge dans les yeux d'u mort, cette douceur qui aspire toute cette vie qu'elle autour d'elle La maison en ruine paraissaient tellement un lieu idéal pour qu'elle s'y loge. Pour qu'elle trouve sa place, pour qu'en amie toujours, elle s'y loge dans ses bras. Pour que toutes deux puissent en reines, gouvernées le monde. Gouvernée le monde est alléchant, être reine, être la seule qu'on regarde, la seule qui décide de qui peut vivre, et offrir la mort aux autres. Un grand projet, quelque chose d'attrayant, quelque chose de très grand, quelque chose qui titille ses dents. Le pouvoir lié  à sa soif de sang, elle se sent presque reine, mais elle n'a rien pour renverser ceux au pouvoir en ce moment même, et ce serait un suicide public, elle met son envie de diriger le monde en portant son regard sur le combat qui prend place sous yeux. Même si le louveteau n'a pas cherché à se battre, elle laisse Slade entamer un combat qui ne devrait pas avoir lieu, à voir un combat qui ne devrait pas tuer Slade. Elle ne le permettrait pas, même si l'idée qu'il prend peur, et qu'il  devient  raisonnable est elle alléchante, l'idée qu'il puisse comprendre tout les risques. C'est pour ça que sous ses yeux, elle n'intervient pas, et ça lui permet de voir le potentiel du petit qui prendra place. Elle ne veut pas d'un faible, et le voir se débattre, et prendre le dessus face à Slade ne fait que la ravir encore plus, elle cherche une légère faille, et elle la trouve. Il est trop vif, trop à vif. Et elle sent un sale caractère. La petite reine laisse Slade avoir peur, peur de perdre, de mourir. Elle laisse aussi cette peur quelque temps, avant de sauver Slade d'une mort qu'elle ne pourra pas donner, c'est elle qui décide, pas lui. Sa main sur son cou, elle décide de lui dire ce qu'elle compte faire, ou presque. Elle le veut, maintenant qu'elle l'a vu à l'œuvre, elle a envie d'avoir cette petite teigne dans sa meute, quitte à la dresser, elle le prend déjà comme un jeu, pouvoir dresser quelqu'un comme ce petit être qu'elle tient dans ses mains. Mais bien vite, elle le voit partir, elle le voit fuir loin d'elle et de ses désirs, loin d'elle et de ce qu'elle souhaite. Il n'a pas eu de non, ni de oui, tout ce qu'elle a eu, un grognement, et le fait qu'il recule. Elle fronce les yeux, elle n'apprécie pas ce manque de respect, il ne sait pas qui elle est. Egal à son grognement, elle laisse un grondement entre ses dents, elle cherche à lui faire comprendre qu'il n'a pas le choix, et ce qu'elle veut, elle prend, elle se sert comme lors des dégustations gratuites qu'on offre dans les super marchés. Elle le veut lui, et pas un autre, qu'il cesse de faire l'enfant, ce n'en plus un. Il était temps qu'il grandisse. Il était temps qu'il montre aussi sa vrai nature. Elle s'est fait surprendre, elle ne s'attendait pas qu'il tente quelque chose dans un espace aussi réduit, mais elle se retrouve au sol, avec toute la masse d'un loup sur elle. Mais elle ne décide pas de se défendre, pas maintenant, trop tôt, et ça permet aussi de le tester sa volonté. Mais les crocs  qui cherche sa chair lui arrache un autre grondement, et si elle s'apprête à l'attaquer, c'est un de ses chiens qui lui porte un coup assommant. Elle esquisse un sourire, seul contre six, le risque d'être réduit en poussière est immense. Mais elle ne veut pas, elle veut le faire céder, elle veut le voir à ses pieds implorer sa pitié, implorer le droit de vivre. Elle le veut à ses pieds, et pouvoir marcher sur les siens et aussi sur son corps quand il sera mort. Mais quand elle voit le loup qui garde sa forme humaine, elle se relève en dépoussiérant sa robe. De toute sa hauteur, elle le regarde, hautaine, et la ferme intention de lui faire payer ce qu'il a voulu faire. On ne la touche pas, on ne l'effleure pas, on ne la tue pas. Debout, elle attrape le loup par le cou, en montrant des dents.

« Tu cesses de suite ton impertinence, misérable vermine. Et c'est toi qui ira te faire foutre, cinq gars rien qu'à toi, prêt à tout donner tout le plaisir que tu veux. Je ferai des photos souvenirs. »

Elle esquisse un sourire sadique, avant de jeter le loup au loin, elle voit son corps sur le sol, et ordonne à Slade à le lui ramener. Quand elle le voit ramener par le cou, elle garde un sourire malsain sur les lèvres, elle se met à califourchon sur son nouveau jouet, elle cherche à croiser son regard, et dés qu'elle le trouve, elle le force à prendre forme humaine, plus attrayant à ses yeux que la boule de poil. Quand il a repris forme humaine, elle se lèche les babines, les dents en évidence. Avant de les planter dans son cou, elle ne prête pas attention s'il crie ou non, elle n'aime pas le sang de loup-garou, trop fort ou trop canidé pour ses papilles délicates, la vampiresse les retire de son cou, et s'essuie les dents avec sa langue. Elle se penche sur lui, leur visage à quelques centimètres, elle murmure :

« Si je décide que tu seras mon nouveau jouet, tu le seras. Tu n'es pas endroit de dire non. Tu n'as plus rien, plus de meute, plus de copines, plus de bébé, tu n'as plus rien. Plus rien à part moi. »


Elle esquisse un sourire qui montre tout le sadisme dont elle est capable, avant de déposer les lèvres sur celles de loup. Elle ne s'attend pas à une réponse, elle cherche jusqu'où elle peut le soumettre, et plus ou moins évaluer le travail à faire. Elle ne compte pas le laisser partir d'ici là, ni même de lui prendre sa vie. Pour qu'elle la lui prenne, sa vie, il doit le mériter. Et vu chaque mouvement qu'il lui a offert en spectacle, il a plus envie de vivre que de mourir.


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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyVen 25 Avr - 22:08


La bagarre avec un loup plus vieux, il s’en serait bien passé. Son pelage taché de son sang ne sera pas du meilleur effet. Heureusement que les cicatrices ne sont pas trop profonde pour le laisser attaquer à son tour. Heureusement aussi qu’il cicatrice pour ne pas laisser le liquide vermeil se répandre sur une plus grande surface. Slade n’arrivera pas à l’humilier en plus d’avoir laissé sa femme se faire tuer. La rébellion de cette nature, il est presque certain que l’alpha était au courant. Il a dû au moins les entendre, il aurait pu agir au lieu d’être spectateur. Ce qu’il a lui-même été : spectateur entre les pâtes d’un autre. Aujourd’hui ce ne sera pas le cas, il ne se laissera pas dominer de la même manière. Du moins c’est sans compter qu’ils ne sont pas qu’à deux et que ses comptes ne seront pas réglé aujourd’hui. Il a bien senti la vampiresse, venir au secours de ce qui lui doit lui servir d’alpha, ici aussi. Si seulement il avait su que ses technique de défense et d’attaque séduisaient la vampiresse, il se serait sûrement laissé attaquer, couché par terre. Il se fou de ce que le loup aurait pensé tant que lui n’oublie pas ses valeurs et ce qu’il vaut. Il sait bien que ses qualités ne lui permettent pas de se rabaisser au service d’une créature de la nuit sans scrupules. Il préfère la tuer et subir le même sort après que d’être une nouvelle fois esclave. Il n’a pas besoin de meute pour survivre lui. C’est plutôt le contraire, il n’y a que des traitres. Tous comme l’alpha qui préfère tuer un membre de son espèces plutôt que de désobéir à sa maitresse. Lèche botte. Il n’arrive même pas à lui mordre le museau quand il le plaque au sol. Prisonnier de ses mouvements, il ne peut qu’essayer de le faire basculer. Ca pourrait prendre la nuit à ce rythme et peut-être que Calixte la passera avec eux. Peut-être qu’elle restera jusqu’à l’aurore et plus, pour lui offrir le spectacle du soleil brulant sa peau comme un feu de joie. Elle ne lui fera pas ce plaisir, elle a l’air de s’être lassé. Le corps libérer, ses pattes ne touche plus le sol. Ses pattes et ses griffes essaye de prendre appuie sur le bras qui tient son cou. Il ne veut pas mourir de façon aussi stupide et lente que l’asphyxie. Ses paroles lui passent au dessus de la tête. Les conneries qu’elles déblatèrent, il ne sera plus là pour les entendre si elle garde sa position. Sa tête contre l’arbre lui fait comprendre qu’elle a décidé de l’épargner. Il ne bouge pas, encore trop assommé. Le répit ne se refuse pas. Elle ressemble plus à un tyran qu’à une enfant. Trop effrayée par le monde, peut-être que c’est ce qui la conduit à agir ainsi. Une manière de se défendre sans grand succès. Ses yeux se posent sur son corps pour mieux observer celle qui ressemble à une adolescente. C’est la seule chose qu’il a le temps de faire. Les dents sur son cou l’empêchent d’esquisser la moindre fuite. C’est une aide pour marcher ou plutôt trainer ses pattes dans la boue. Il ne veut pas lui faciliter la tâche. Surtout lorsqu’il s’agit de le livrer à l’ennemi…
Le vent se fait plus froid. Il a lutté pour garder sa forme animal mais il n’a pas pu. Sa volonté n’a pas suffi. Ses poils ont laissé place à sa peau nue. En silence, il regarde la vampiresse sans ciller. Il se fout de se retrouver dans une position qui porte à confusion face à des inconnus. Il y a eu pire et puis il n’est pas si mal fourni par la nature. Il n’a aucune honte à avoir. Il lui offre seulement un petit sourire provocateur. Des deux, ce n’est pas lui qui passe pour une pute obligé de coucher dans l’espoir que personne ne le trahisse. Il n’est pas aussi désespérant. Et puis si elle compte l’asservir de cette manière. Autant en profité, il n’a plus d’attache, que des besoin parfois difficile à combler seule. Ses yeux se ferment en sentant les canines qui veulent le croquer pour de bon. Il retourne dans le passé alors que son sang coule goutte à goutte dans le gosier du prédateur. Il n’y a plus de proie. Il ne reste qu’un jeu dans lequel il est lui et Elisa est une vampiresse cruelle et sans scrupule. Les images défile face à lui. Les yeux fermé il cherche la nuque de la femme pour venir appuyer sa main sur la base de son crâne. Il ne veut pas qu’elle parte. Ça ne fait pas mal. Dans ses souvenirs, c’est doux et ça fait du bien. Il ne peut refuser les caresses d’une femme à laquelle il a promis satisfaction dans tous les domaines. Un sourire et un soupir de satisfaction font leur apparition. Le temps qu’il ne puisse plus la retenir à ses côtés et que ses yeux se rouvrent sur la triste réalité. Pas d’Elisa, juste une vraie vampre qu’il relâche précipitamment. Ses traits lui offrent toute l’amertume de la découverte. C’est plus tragique que ses propos qui appuient les faits passés.

« Je préfère ne rien avoir… »

Les mots ont à peine le temps de franchir ses lèvres qu’une bouche vient le faire taire. Elle a tué la suite de son discours sur la liberté. Sans à priori, il rend le baiser timidement jusqu’à avoir accès libre à ses lèvre et pouvoir y planter ses dents jusqu’au sang. On demande avant de toucher, même si elle aurait pu l’hypnotiser pour qu’il accepte. C’est sa manière de la traiter d’impolie. Ses dents ne se détachant de leur prisonnier qu’au dernier moment. Celui où il a jugé qu’il l’avait assez blessé. Le sourire joueur, il se lasse de sa bouche pour redéposer sa tête par terre, juste l’instant d’une seconde. Son poids vient renverser la femme pour qu’il puisse être au-dessus elle et avoir la place parfaite entre ses cuisses.

« J’aime mieux la place du dominant si tu veux vraiment qu’on conclut le premier soir. »

Il s’amuse de la situation. Il ne la pense pas capable d’aller plus loin. Malgré les tentations qu’il peut lui offrir, jouant de ses doigts le long de son cou immaculé. Tout le contraire du sien qui en plus des deux petits points, s’est vu tacher par ses cheveux.

« T’as de la chance d’avoir une tête de gosse avec un sale caractère comme ça. »

Lui aussi, il travaille la proximité. Plus sérieux maintenant qu’avant. Elle se serait déjà fait tuer sous son vrai visage. Pas celui qu’elle aurait dû avoir après des années de vie, seulement celui de son âme. Mais il l’aime bien, elle est plus sympathique qu’avant. Elle dégage un truc. Elle arrive à faire grogner Slade. Joan ne peut que s’en amuser. Le loup est jaloux. Il sait comment lui rendre la pareille pour Elisa. Sa main caresse en douceur le haut de son buste.

« Tu as de la chance que les vieilles me dérange pas… J’espère que tu es aussi tigresse au lit. »

Un petit regard coquin et sa main passe sur sa poitrine pour venir caresser un sein. Il joue avec le feu, il le sait, il l’entend. Slade n’attends probablement qu’un geste pour venir l’écorcher vif à cause d’une proposition faites en toute délicatesse.
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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyMer 30 Avr - 23:17

(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_inline_mq03m8tS261qz4rgp(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_n3qislELsQ1s7mgnxo1_500


Savoir qui va gagner entre l'alpha et le nouveau, elle s'en fiche éperdument, elle aime voir jusqu'où le nouveau est prêt pou se battre, jusqu'ou le nouveau se sent capable d'aller. Une épreuve que ses yeux se délectent de regarder, comme toujours. Reine du sadisme, elle se contente d'être spectatrice du combat, voir les capacités de l'un, évaluer celles de Slade, voir ce qu'il y a changé, voir ce qu'il est encore capable de faire. Mais elle ne veut pas sa mort, ce serait une trop grande perte, tout comme elle n'aurait plus de bouée de sauvetage pour tenir sur ses jambes. Malgré ses airs froids, sadisme, elle sait qu'elle a doit beaucoup Slade, après la mort de la seule personne que la vampiresse s'est autorisée à aimer. Elle attrape le chien sauvage par la cou sans serrer, elle n'a pas envie de montrer non plus toute la cruauté qu'elle peut avoir à l'égard de la moindre personne. C'est un jeu dont ses yeux montrent toute une lueur amusée. Elle attend juste, même si elle se lasse vite de son petit jeu, elle ne veut pas y passer la nuit, elle n'en a pas envie. Elle le veut lui, dans sa meute, et elle usera de toute ses talents naturels, l'hypnose ne sera là quand dernier recours. Tellement facile. Elle se lasse comme une enfant. C'en est une d'enfant. Une enfant dans un corps de grand, trop vieux. Elle reste pourtant sur ses positions, comme toujours. Elle ne veut pas le laisser l'abattre ou la décapiter. Elle lui montre qui elle est. Il ne manque plus qu'un costume de monstre qui colle, et elle espère tellement qu'une lueur de peur traverse son coeur, mais rien ne se passe, il ne veut juste pas mourir asphyxier. Elle l'envoie au loin, sous la colère. Ou parce qu'elle n'a pas ce qu'elle veut. Capricieuse aux yeux d'amandes, elle demande quand même à Slade d'amener la victime à ses pieds. Son jouet du moment. Sa satisfaction trouve un peu plus sa place quand elle voit que son alpha traine difficilement le nouveau loup. L'idée que Slade a enfin du fil à retord la rend aussi gai qu'une enfant devant Disney World. L'idée que son autorité trouve un obstacle est alléchant, elle connait déjà le gagnant dans cette partie, et c'est elle. Cet espèce de loup des bacs à sable ne sera pas l'auteur de son échec, il ne sera pas celui qui causera sa perte. La folie n'est pas son amie, loin de là. Trop instable, trop ailleurs pour qu'elle s'autorise ses amitiés. Un sourire sadique retrouve les lèvres de la vampiresse, il fait tellement pitié comme ça. Se débattre pourquoi ? Il n'a plus rien. Ni famille, ni amis, ni femme. Il n'a plus rien, et le voilà à se battre comme si sa vie en dépendait, comme si tout en lui montrer une force de vivre qu'elle trouve relativement pitoyable. Elle a envie de lui rire au nez, mais ses lèvres restent closes sans pour autant qu'elle garde la déformation sadique de son sourire. Quand Slade le ramène, ses lèvres gardent cette même expression, sa même envie d'humiliation.

Au dessus de lui, elle lui fait reprendre forme humaine, Calixte dans toute sa splendeur attend que celui qu'elle veut asservir prend former humaine. Elle ne se prive pas de montrer que c'est elle qui gagne, que c'est elle qui domine, même si elle a moins entre les jambes. Même si son sourire provocateur trouve la faille et lui donne envie de lui tordre le coup, comme une serviette humide. Le fait qu'elle retrousse le dent est la preuve de son désaccord. Elle est la seule qui commande, et lui doit obéir, il ne peut pas dire non, ni prouver qu'il ne veut pas. Ce qu'elle veut, elle le prend. Avec ou sans accord. Elle a toujours, ou presque agit comme ça. Mais elle ne veut pas lui écarter les jambes, elle n'aime pas assez la débauche pour le faire devant tout le monde. Même si la situation l'excite un peu, elle se contente de prendre ses traits de vampires, et de se servir à la source. Sa tête dans son cou, elle cherche le liquide rouge qui arrive entre ses dents, avant le laisser couler le long de sa gorge. Elle n'est pas fan du sang de garou, elle veut juste prouver qu'elle commande, qu'elle décide. C'est elle le centre de contrôle, c'est elle qui décide. Elle sent doucement sa main à la base de sa nuque. Ses lèvres prennent un forme tendre, l'espace d'une seconde, en pleine connexion à ses souvenirs, à ce qu'il pense, elle en trouverait ça presque attendrissant. Même si elle pendre a un vilain et malin plaisir à tout détruire à la moindre occasion. Réduire à néant toute espoir de liberté et de douceur, quelque chose dont elle raffole quand la possibilité se présente. Calixte est un monstre qui ne pense qu'à son propre plaisir, sa propre envie. Elle s'empare des lèvres sans prendre en compte le moindre risque. S'il s'est fait timide avant, elle grogne de douleur, impossible de libérer sa lèvre. Elle a envie de briser sa nuque, de le détruire, de lui faire payer, et toute ses émotions passent dans son regard. Elle désapprouve. C'est elle la reine, lui n'est qu'un valet. Elle veut lui faire payer, et quand elle cherche à nouveau sa bouche, elle se retrouve sur le dos, dans une position pour le moins indécente. Bien vite, l'idée de jouer arrive vite à passer son idée de le vider de son sang. Même si elle n'aime pas celui de loup-garou, elle apprécie celui-ci de Joan. Sans qu'elle sache pourquoi, mais elle passe au -dessus, comme toujours, il le payera, elle s'en chargera la première. Un sourire prend place sur ses lèvres quand le jeu prend un tournure qu'elle connait bien. Même si elle n'aime pas être l'idée que c'est lui qui domine, elle passe au dessus, encore une fois. Il faut savoir des concessions pour avoir ce qu'on veut. Elle caresse ses lèvres sans douceur, et la lueur de jeu présente dans ses yeux, toujours présents.

« La proposition est alléchante, très cher. Tu es déjà en tenue, pour le coup. »

Elle quitte ses lèvres pour lui caresser le cou, la froideur de ses bras dessinent des lignes, aller retour, en le regardant droit dans les yeux, lui aussi fait pareil. C'est comme un miroir sans vraiment refléter l'image de l'autre. Quand son regard s'attarde sur le sang sur les cheveux de Joan, elle sourit, et lève la tête, pour l'aspirer. On ne gaspille pas le sang.
« Tu as de la chance que je suis clémente, plus d'un aurait fini décapiter après toute l'insoumission que tu montres. »

Elle ne sait pas à quoi s'attendre, mais la tentation est présente, et l'envie de prendre un peu plus de lui reste dans un coin de sa tête. Elle n'a pas peur, il ne lui fait pas peur, et ça n'arrivera jamais. Elle a le contrôle, comme toujours. Se regarder en chien de faïence, avant de vouloir faire tomber l'autre dans ses bras. Et si l'idée de cesser ce jeu se présente, elle entend grogner Slade. Son sourire s'agrandit, elle veut le tester pour le coup. Elle ne le regarde pas pour autant, et laisse les mains du loup trouver sa place sur son corps. Elle ne le repousse pas, et Slade grogne un peu plus, elle le laisse parler, et quand elle sent la caresse sur son sein, elle laisse un gémissent qu'elle exagère volontairement, elle ne regarde plus son alpha, elle regarde son prochain loup.

« Tu ne seras pas déçu, le loup. »

Elle prend ses lèvres entre les siennes, encore une fois, avant de mettre fin au baiser, d'humeur joueuse et coquine.


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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptyLun 5 Mai - 11:39


Les plaintes sourdes de la vampiresse sous ses crocs sont plus mélodieuses que ceux du loup jaloux. Il n’a pas de mal à l’entendre s’énerver mais entre le gout du sang et le corps qui lui est offert, il préfère se concentrer uniquement sur celui-ci. Calixte. Qui aurait pu prévoir, avec un nom qui lui fait penser à une guerrière, qu’une simple morsure au cours d’un baiser l’arrêterait si facilement. Il n’aurait pas dû lâcher, il aurait probablement dû se contenter du spectacle et du gout répugnant qui commençait à se répandre sur sa langue. Mais il a eu envie de voir la souffrance dans le regard qu’il a quitté depuis un moment. Il se surprend à ne pas en être dégouté mais plutôt à en apprécier les touches de réprobation qui pointe leur nez. Qu’est-ce qu’une petite blessure peut bien lui faire ? Elle cicatrice probablement au même rythme que lui. Elle n’aura qu’à se dire qu’il lui reprend son dû. Elle l’a pris pour le buffet, les rôles s’inversent. Comme celui de dominant. Il espère prendre un peu plus de pouvoir de cette manière. C’est futile comme raison mais il ne peut s’empêcher d’y croire. Il n’aura l’avantage d’aucune manière sinon. Elle doit être plus forte que lui et ils sont plus nombreux. Même pour prendre la fuite, il se ferait suivre jusqu’à la mort. La nuit est déjà aussi froide qu’elle, bien qu’il ait fallut les doigts de la sangsue pour lui tirer un frémissement le long du corps. Elle n’a encore prononcé la sentence pour ne pas lui obéir au doigt et à l’œil, il l’attend avec impatience. Qu’elle lui offre la mort d’un geste habille, on n’en parlera plus de cette manière. Et s’il ne cille pas face à elle, elle le surprend d’accepter simplement sa proposition. Un instant de frayeur lorsqu’il la sent arriver une nouvelle fois sur son coup. Peut-être n’était ce qu’un leurre ? Tu ne fuyeras pas avant que j’ai pu te tuer de mes mains ? Un nouveau frisson lui parcoure l’échine en la voyant se rapprocher. Il ne s’est pas trompé. Elle a choisis sa fin. Au lieu de lui tordre le cou, elle va le vider de son sang. Ses yeux se posent avec toute leur fierté sur le cou blanchâtre, seul élément qu’elle lui laisse encore percevoir. Mais ce n’est pas dans le sien qu’elle s’arrête et dans le fond, il regrette. Maintenant obligé de continuer son petit jeux, sa bouche vient lui murmurer à l’oreille une rapide phrase.

« Tant que tu le fais vite. Tu éviterais les problèmes… »

Un baiser le long de la mâchoire, juste en dessous de l’oreille, pour tenter de la décrisper. Jouer face à des inconnus ne le dérange pas. Pour cause, ils n’ont droit à rien, si ce n’est une vue sur son arrière train et ce n’est pas le premier qu’ils doivent voir. Il a pris soin de se coller intelligemment à l’enfant de la nuit pour ne rien laisser au hasard. Tout est entre ses mains, si ce n’est les grognements de Slades et surtout le gémissement exagérer qui vient de sortir pour une main frôlant un sein. Il n’aime pas ce deuxième son, il est trop faux. Heureusement qu’elle n’est pas comédienne, elle n’aurait jamais percé. Enfin peut-être bien que si, l’industrie du sexe n’aurait pu refuser son corps de sale gamine.

« Arrêtes déjà de simuler. C’est pas excitant et ça te rends pas plus belle... Tu perds de tes charmes, Calixte. »

Sa voix a pris des tons langoureux. Il essaye de la charmer sous tous les angles. Son baiser rendu avec toute la fougue destinée à sa femme. Seulement il n’est pas satisfait d’un seul et malheureux baiser. Il vient en redemander deux, plus long et passionné. Sa mains venant glisser d’un sein sur une hanche. Ses yeux sans réelle passion se posent sur son visage à la recherche d’un quelconque signe d’approbation. Et surtout pour vérifier qu’elle n’est pas en train de dire aux autres loups de l’attaquer en traitre. Il se met rapidement debout, de face à Calixte pour éviter d’autre regard. Il lui tend une main impatiente avant de l’attirer à lui et de la laisser frôler son sexe, un petit regard en direction de Slade.

« Il y a une chambre à l’étage. Je voudrais pas te décevoir en attrapant froid. »

Il lui offre un petit sourire coquin. Il se veut convaincant. Il ne sait pas quoi faire. Laisser la mascarade pour Slade, tenir parole ou continuer à fuir. Il est indécis face à tant de choix. Peut-être qu’il pourra se décider une fois en haut. Il sait bien que tuer quelqu’un en cet instant signifiera mourir avec ses victimes. Il regrette que tout le monde ne vivent pas sa vie en solitaire à l’abris des attaque en bande.

« Et puis c’est la seule fois où je te laisserai me mener par le bout de la queue. »

C’est comme ça qu’elle les a tous, une ficelle au bout de leur queue animal mais la confusion est tellement tentante qu’il n’a pu s’en empêcher. Elle aime dominer, il lui donne ce qu'elle veut. Ses lèvres se détachent de son oreille pour venir attraper un petit baiser. Seul. Seul à deux, c’est plus facile pour réfléchir qu’à sept. Bien qu’il espère avoir bloquer ses pensées assez facilement en essayant de ne penser qu’à l’emplacement de la chambre, si elle accepte d’y aller, en admettant qu’elle soit aussi pressée que précédemment.

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MessageSujet: Re: (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu   (joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu EmptySam 10 Mai - 13:55

(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_inline_mq03m8tS261qz4rgp(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu Tumblr_n3qislELsQ1s7mgnxo1_500


La porte ouverte à la soumission, elle a espéré qu'il se soumette sous son baiser, mais au lieu de ça, elle sent son sang couler, mais elle ne relève pas, elle avale, et laisse Joan quitter ses lèvres. Elle veut montrer toute la puissance dont elle est capable, ce n'est pas une morsure à ses lèvres qu'il l'arrêtera. La soumission, sa soumission, l'attire. Elle le veut à ses pieds. Sous ses pieds. Un pion de plus dans son royaume, un pion de plus dans sa petite cours. La tentation est forte, et elle se laisse aller. Elle l'aura, qu'importe les moyens. Si elle veut qu'il fait son choix par lui-même, elle peut toujours forcer par l'hypnose. Elle trouvera un moyen, un autre, pour qu'il lui cède une fois dans son monde. Et le sadisme de lui faire croire qu'il finira en morceau cesse aussi qu'elle le sent s'abandonner. Elle ne veut pas le voir mort, elle le veut vivant. Qu'est-ce qu'elle ferait de lui, sinon ? Juste un corps de plus à mettre ailleurs, juste un corps de plus à enterrer ou à brûler. Et avant de faire ça elle a envie qu'il montre qui il est réellement, elle a envie de le voir se battre pour elle, le voir soumis jusqu'au bout des poils. Il devient son jouet le plus intrigant pour le moment. Elle ne sait décidemment pas ce qui force les gens à se battre même quand ils n'ont plus rien ? Elle lui offre la chance de ne plus être seul, la chance de chaleur, et de vivre une vie plus ou moins tranquille. Sans forcément avoir besoin de travailler. Il reste intriguant. Savoir pourquoi et ce qui le pousse à agir ainsi, savoir ce qu'il est dans le fond. Juste savoir. Elle a du oublié ce que c'est d'être humain après la mort d'Evan, surement, mais ça n'apporte de rien de ressentir quelque chose, ça n'apportera plus rien, c'est mettre sa vie en danger de façon futile. Mourir à la place de l'autre de façon stupide. Ca lui fait bien rire, et dans le monde actuel, personne n'a le temps pour ça, on ne peut pas tomber amoureux, au risque de perdre plus que ce qu'il ne s'autorise. C'est ce qu'il a du se passer pour lui, au vu de l'abandon sous ses dents, perdre quelqu'un à du lui être fatal, mais ça ne l'affecte pas. Elle reste perplexe et curieuse face à tout ce qui est humain, mais elle ne se mettra au grand jamais à sa place. Elle se loge dans son cou, à la recherche de se précieux diamant blanc. Elle passe au-dessus de son léger dégoût pour le gout du sang de loup-garou, et elle finit par presque à en apprécier toute les subtilités. C'est au moment ou elle commence à se dire qu'elle pourrait prendre le sang de garou comme seconde solution qu'il arrive à l'arracher. Elle sort la tête de son cou, en planta ses yeux dans les siens.

« Je ne veux pas te tuer, petit. Ce serait tellement facile pour toi. Je veux que tu sois avec moi, dans ma meute. » Elle laisse sa bouche errer sur sa mâchoire, elle essaie de l'appâter, ou presque. Et jouer devant Slade est alléchant, elle ne s'en prive pas. C'est à son tour de trouver le chemin de son oreille, en murmurant « Tu ne veux pas prendre la place de Slade ? »

Elle s'en fout de qui est l'alpha, dans le pire des cas, ça restera Slade, mais elle a envie d'allumer quelque chose chez les deux loups quelque chose qui les pousseraient à se surpasser, à s'affronter mais ils lui seront fidèle dans tout les cas. C'est ce qu'elle souhaite. Trouver une brèche, un feu à allumer, et à conserver, voire même à le grandir. C'est souvent ce genre de chose qui anime ces bêtes, qu'ils soient provoquer par l'amour, la vengeance ou la soif de pouvoir. Allumer le feu pour mieux l'avoir à ses pieds. Mais ses intentions resteront tout aussi scellé que sa volonté qu'il soit dans sa meute. Il ne pourra rien changer, il ne pourra rien faire. Surtout quand elle entend presque Slade grognait de tristesse ça lui arrache un sourire sadique, il est amoureux à ce point ? Mais ça l'agace, ce bruit de fond. Il parait tellement pitoyable que ça voit gronde et brise le silence du côté de chez sa meute.

« Veux-tu bien te taire, Slade ? » Rien d'aimable dans la voix, et les tons froids le se trouvent aussi dans celle-ci. Elle commence doucement à s'énerver, ce que le loup comprend de suite, et se fait silencieux. Elle apprécie ce moment de répits pour mieux se concentrer sur sa mission. Si elle a exagéré, son sourire qui suit sonne vrai, et il l'est. C'est presque un sourire de fierté. Elle aime le répondant, et l'aisance avec laquelle il le maitrise. Elle dépose à nouveau ses lèvres contre les siennes, rapide, sans réelle passion, juste essayé de tâter le terrain, voir si le chemin est encore long. « Le fait de montrer des dents ne te rend pas plus attirant non plus, on est quitte ? » Elle mordille sa lèvre, en déposant un baiser sur son cou. « Mais tu marques un point, rien ne sert d'extrapoler quand on veut quelque chose. Et je te veux toi. »

Elle ne cessera de lui faire comprendre qu'elle le veut que quand elle aura. Déterminée, c'est ce qu'elle est. Et au vu de ses mains qui parcourent son corps, elle sent qu'il est tout aussi déterminée qu'elle. Surtout qu'elle a envie de rire, comme si elle demanderait à sa meute de l'attaquer. Pas tout de suite. Parce qu'elle veut, c'est lui dans une soumission consciente, et non pas par la force. Elle attend de trouver une faille dans laquelle elle peut plonger tête la première, comme toujours. Elle attend la suite avec impatiente, et de pieds ferme, même si elle veut être à l'abri pour mieux l'avoir dans son camps, quand il parle d'aller ailleurs, d'aller dans un endroit qu'elle ne connait pas, Slade a émis un son de désespoir, ce qui lui arrache un comme pas deux. Elle a trouvé le moyen de le faire souffrir lui aussi. Il lui faut Joan. Ce n'est plus une envie ou sa volonté, c'est sa nécessité. Elle attrape sa main, sans quitter ses yeux, pour se retrouver contre lui, la preuve de sa masculinité non loin de son entre jambe à elle. Elle admet volontiers que ce petit jeu l'excite et réveille ses sens.

« J'attendais que tu me le proposes, mon petit Joan. »
Elle délaisse ce que pense sa victime, pour un regard à Slade, rapide mais assez pour voir qu'il lui en veut, à force, il doit avoir l'habitude. Et le sourire qu'elle lui offre égale tout ce qu'elle pense et tout le plaisir de le voir souffrir. Il ne bronche pas, mais toute sa colère lui est adressé. Juste un regard mauvais, et elle lui fait comprendre que s'il bouge, il est mort. Elle porte toute son attention sur Joan, toujours avec son sourire qui lui appartient. Le dominer, c'est une proposition qu'elle ne veut pas laisser passer.

« Je m'assurerais que ça te plaise assez pour en redemander ... très souvent. »

Elle n'attend plus que lui bouge, pour lui montrer le chemin, mais elle ne se laissera pas berner. Loin de là. Il sera à elle, et à personne d'autre. C'est son jouet, qu'il commence doucement à s'y faire comme idée. Lui dans sa meute, elle aura une petite cours à elle presque parfaite. Reste plus qu'à le dompter une fois qu'il aura accepté.


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(joalixte) Ce ne sont pas les coups que nous avons pris qui comptent, mais ceux auquels nous avons survécu
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